Pour comprendre la situation...
C'est un titre de paiement donné par l'entreprise à chacun de ses salariés. Le montant est choisi par l'entreprise suite à un accord avec les syndicats.
Chaque salarié est ensuite libre de le verser au syndicat de son choix, sans avoir l'obligation d'y adhérer.
Chacun peut choisir la destination de ce versement ou de ne pas l'utiliser. Les fonds non alloués retournent alors à l'entreprise.
C'était un projet inscrit dans le programme d'Emmanuel MACRON qui a été passé sous silence lors de la réforme du Code du Travail.
Le site service-public.fr le mentionne en toutes lettres :
« Les organisations syndicales représentatives disposent d'un contingent d'heures qui leur permet de décharger d'activité leurs représentants afin qu'ils puissent exercer leur activité syndicale pendant les heures de travail »
ou encore :
« Un fonctionnaire titulaire peut être détaché auprès d'une organisation syndicale pour exercer un mandat syndical ».
CQFD : Des fonctionnaires sont payés par nos impôts pour exercer un mandat syndical...
L'URSSAF est très claire AU SUJET de cette contribution :
« Cette contribution est destinée à abonder un fonds paritaire dédié au financement des organisations syndicales et des organisations professionnelles d’employeurs. »
Et tous les employeurs la payent pour l'ensemble de leurs salariés :
« Cette contribution est due sur les rémunérations servant de base de calcul des cotisations de Sécurité sociale et versées à partir du 1er janvier 2015 ».
Ce qui est génial dans cette affaire, c'est que cela reste invisible pour les salariés puisque seul l'employeur la paye.
Eudes Baufreton
Directeur
Contribuables Associés
Agissons !
Merci de signer la pétition ci-dessous.
La liberté syndicale doit exister mais elle doit être financée par ses adhérents.
Aujourd'hui, le nombre de salariés syndiqués ne cesse de diminuer pour ne représenter que 8,7 % des salariés du secteur public et 19.8 % des fonctionnaires.
Malgré ce rejet de la population, les syndicats ne cessent de quémander et recevoir de l'argent public.
Alors il est grand temps de nous libérer de cette taxe aux syndicats et les placer enfin devant leurs responsabilités de se financer sans venir crier famine aux portes de l'Etat.
Pour mener à bien ce combat, j'ai besoin de votre aide.
Il faut que nous soyons le plus grand nombre à faire pression sur la Ministre du Travail, Mme Élisabeth Borne, afin qu'elle mette en place une réforme de ces financements issus d'un autre siècle et qu'elle les remplace par l'utilisation du chèque syndical.
Je vous rappelle que c'était dans le programme électoral d'Emmanuel Macron et qu'il y a peu l’ex-ministre Muriel Pénicaud déclarait « le sujet n’est pas clos mais la proposition est un peu en avance sur l’évolution de la société ».
Non, nous ne sommes pas en avance, nous sommes en retard ! La gabegie a assez duré. Nous devons agir et faire entendre notre voix.
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PÉTITION à l'attention de Élisabeth Borne,
Ministre du Travail.
Madame le Ministre,
Des grèves à répétition paralysent régulièrement notre économie.
Cette tyrannie syndicale n’est plus supportable, surtout quand on sait qu’elle est financée par nos impôts.
Les syndicats français, comme les autres syndicats européens, doivent tirer leurs ressources des cotisations de leurs adhérents et non de l’argent public !
C’est pourquoi je vous demande de mettre un terme au financement public des syndicats par les contribuables, et de tenir la promesse d’Emmanuel Macron en mettant en place le chèque syndical.
L’argent économisé permettrait de renflouer les caisses vides de l’État et de faire de vraies économies.
Respectueusement,
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